Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
La fée maraboutée
6 novembre 2008

Mon coup de coeur aurait-il des allures de soufflés au fromage ?

C'est vrai c'est le genre de truc qui gonfle, gonfle, très, très vite, et puis on ouvre la porte du four, et c'est le drame...
Je n'sais pas si j'ai ouvert une porte secrète, je n'sais pas. Mais il s'avère que ce garçon serait un garçon comme les autres. "Mais qu'est ce qu'elle cherche au juste cette petite ? Un extra terrestre ? Un garçon reste un garçon à la fin !". Oui je sais petite voix tu as raison, un garçon reste un garçon. Un garçon peut être beau comme un dieu, avoir les mêmes centres d'intérêts que vous, être drôle, gentil, un tantinet seducteur, un garçon peut etre parfait, mais il reste un garçon. Il peut etre lâche. Ne pas appeler alors qu'il avait dit qu'il appelerait peut etre. Oui je sais, il a dit peut etre, mais bon il n'avait qu'à rien dire du tout et puis c'est tout ! Bon et puis c'est quoi ces manières de ne pas répondre quand je vais lui parler ? Merde à la fin, ce mec m'agace. Merite t il que je me pose autant de question et que j'écrive sur un blog pour essayer de me calmer ? Mérite t il que je me change 4 fois dans la journée au cas où il soit là ? Mérite t il que je lui en veuille de ne pas être là juste parce que moi je n'attendais que ça ? Mérite t il la colère d'une fille qui se fait des film et qui se retrouve déçue de ne pas les voir se réaliser ? Si C. me lisait, il se dirait "tiens tu vois, j'avais raison encore une fois !". Oui il avait surement raison. Ce n'est pas de sa faute si je suis déçue, c'est de la mienne, j'avais qu'à esperer moins. Je devrais être plus indépendante. Arrêter de me raccrocher aux gens comme ça, et arrêter de tout le temps compter sur eux sans rien leur demander, et de leur en vouloir de n'pas me suivre.
Bon voilà, je suis bien pitoyable. Mais ce n'est pas très grave, je vais à nouveau me parer de ma dignité un peu meurtri quand meme, et faire comme si j'en avais rien à foutre. Rien à foutre de quoi au fait ?

Publicité
Publicité
Commentaires
J
mais non, la fièvre sentimentale n'est point pitoyable ; elle est tantôt sel, tantôt piment
La fée maraboutée
Publicité
Publicité